de retour sur le chat
recoucou, alors que le blog paraissait mort-né, he bien non, j'y ai
repensé! En fait, on ne s'imagine pas quelle hygiène d'auto
évaluation et d'écriture quotidienne cela engendre!! le blog a plongé
avec mes déboires professionnels, n'ayant plus le temps de rien, du
social comme du soleil ou du farniente al'italiana. Bruxelles tombe
sous une vague de chaleur incroyable, les bruxellois dans la torpeur
juilletiste, avant les grandes transhumance dans les pays chaud et
premièrement en France, les belges se mettent au vert, dans les parcs
urbains ou les Ardennes, c'est selon. Pour ma part, lundi c'est le
retour d'un week end trop baigné de vacances pour que je veuille
réellement travailler. je suis envahie par une langueur la nuit le
jour. la nuit du vendredi, à 4 heures du matin, j'étais avec Zoe, Bilou
et René dans un club brésilien de Bruxelles, et on m'a piqué mon sac,
alors que j'essaye tant bien que mal de me concentrer sur des faux pas
de samba... tout y était. alors voila sans les papiers, le téléphone,
l'appareil photo et le lecteur mp3, je peux desormais partir et
m'enfermer à la campagne sans aucune autre communication. Gand le
samedi etait magique, toujours avec les même sous une chaleur de feu,
tous les flamand étaient dehors dans les rues, et hop la bière au
soleil qui nous a donné une franche claque. J'essaye d'apprendre le
néerlandais en version longue, en essayant de polir les angles de cette
langue si obtue... c'est difficile. auch te blift (traduit
phonétiquement) c'est s'il vous plaît!, danke merci, guje dach/
bonjour.. mais bruxelles reste francophone, ooof. Plus j'y vis, plus je
m'y plaît.. je découvre la mini communauté flamande à travers les yeux
d'un ami très politique du parti le plus cool des Flandres : SPa (non
il ne s'agit pas de défense des animaux, mais de parti socialiste)...
un
air de vacances flotte, il faut encore deux semaines avant peut etre de
partir moi-même. Laissez-moi un peu de Paris quartier d'été, qui
m'appelle maintenant.
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